La yaourtière, c’est fait pour faire des yaourts.

On m'a appris à la fac qu'il était important de publier aussi ses échecs. Bon, aucune revue de veut de votre papier, mais là on s'en fout puisque c'est notre blog à nous. Na.
Donc, comme annoncé, voici une recette-échec, qui pourtant avait l'air bien alléchante, trouvée sur ce blog http://cendrine29.over-blog.com/article-gateaux-vanille-chocolat-en-yaourtiere-multidelices-69210219.html :

– un pot de yahourt nature
– 2 pots 1/2 de farine
– 1/2 pot de sucre
– 1/2 pot d'huile
– 1 sachet de levure
– 3 oeufs
– arôme vanille

Mélanger tous les ingrédients. Séparer la pâte en deux, et ajouter du cacao dans l'une des deux. Verser dans des pots la préparation vanille jusqu'à mi-hauteur, compléter d'un peu de préparation au cacao et terminer avec le reste de préparation vanille (ça fait un sandwish).
Cuire 20 minutes dans la yaourtière.

Et c'est cette dernière phrase qui déclenche tout le problème. Me disant que sans four, je pourrais tenter une recette de gâteau à la yaourtière, je me lance. Sauf que voilà, au moment de la cuisson rien ne se passe, même après 60 minutes. Pire, la pâte lève très légèrement, suffisamment pour déborder de mon moule, mais sans cuire, restant bien liquide.

Comment rattraper le coup ? Au micro-ondes bien sûr. Pourquoi ne pas l'avoir fait dès le début ?

Ni une, ni deux, je change mon moule d'appareil (vive les débordements), et je lance la cuisson en trois fois deux minutes. Le résultat est pas mal au goût sans être exceptionnel, très agréable et léger en texture, mais la surprise c'est biensûr le débordement de partout. Beaucoup trop de pâte et de levure pour mon espace-moule. Mais au moins, maintenant, on a du gateau.

Moralité : la yaourtière, c'est fait pour faire des yaourts. D'ailleurs, ma fournée vanille et fleur d'oranger devrait bientôt être prête !
La raison de l'échec : l'auteur de la recette possède une yaourtière Seb 3 en 1, avec une fonction "cuisson de dessert lacté" dont on ne connaît pas le détail du fonctionnement (par exemple la température).

En blanc, c’est mieux.

Comme promis, voici le rapport suite aux travaux de ce samedi. Au programme, suite et (presque) fin de la peinture. En blanc, on s’imagine déjà mieux notre future cuisine. Les zones rugueuses sont dûes à la colle (jaune sur les photos des anciens posts) qu’un précédent occupant avait utilisée pour fixer une crédence (noire sur les photos des très anciens posts). Ce sont des zones que nous allons carreler, c’est pour ça qu’il n’est pas très important de les rendre lisses. On tenait quand même à les mettre en blanc, car l’étape du carrelage de la crédance se fera peut-être un peu attendre.

L’autre grande avancée, c’est la fixation de toutes les prises. Ca a l’air bête, mais ça prend du temps de bien ranger chaque fil au bon endroit (il y en a encore plus sur les cables RJ45), de faire les trous dans le mur, de visser les boîtes, et enfin les prises et les caches. Les seuls câbles qu’on voit encore pendre sont ceux pour relier le four, la plaque de cuisson, et l’éclairage. En bonus, Seb a déplacé un intérupteur va-et-vient.

 

La cuisine est maintenant prête à accueillir le carrelage (il faudra un peu racler le sol avant) et le mobilier !

Bouchage et peinturlure

Encore une journée de travaux écoulée ! Les trous et fissures sont maintenant tous bouchés, y compris les tranchées qui encastrent les cables électriques. Le ciment, le plâtre : on maitrise.

La peinture a donc pu commencer. Après lessivage du plafond, on a découvert qu’il était blanc plutôt que jaune. Les murs, eux, n’ont pas pu se débarasser des traces de coulure. Mais la peinture semble bien couvir. La suite samedi…

Tiens, on vous avait dit que depuis lundi nous n’avons plus d’évier ? En vrai, on en a un, bien emballé, qui sera utilisable d’ici deux semaines.

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