La pince à knacks, c’est hyper pratique…
… et pas que pour les knacks !
La pince à knacks, c’est hyper pratique…
… et pas que pour les knacks !
Voilà qui explique les quelques décharges électriques…
On pensait bien que l’appareil n’était pas relié à la terre, mais en plus de constater la fiche simple bricolée sur le cable, on a découvert une section et les fils à vifs en contact avec la cheminée métallique ! Bien sûr, quand tout est caché derrière l’équipement, on ne se doute de rien.
Génération spontanée de chaussettes solitaires.
Y’aurait-il un trou dans le lave-linge par lequel leurs copines se seraient évadées ?
Ou peut-être avez-vous trouvé leur sosies après nous avoir hébergés ?
Le mystère reste entier.
Pour resituer le contexte, rappellons que la fin des soldes approche. J’en ai profité pour m’acheter un pantalon. Et quand on mesure 1 mettre chais-plus-combien comme moi, qui dit achat de pantalon, dit couturage d’ourelets.
Le samedi après-midi approche… occasion idéale pour s’y mettre ! Seb est occupé à la maison, il va donc pouvoir m’installer la machine et venir me la rebooter à chaque plantage, ou me rappeller les bonnes commandes. Mais c’est aussi le bon moment pour se rappeller des milliers de noyaux de cerise nettoyés cet été qui trainent encore dans un carton, attendant désespérément leur demeurre définitive… Leurs petits yeux mouillés me fixent avec tellement d’insistance que je ne résiste plus. Je finis par prendre pitié d’eux, ainsi que (de l’autre main) des vieux tissus et une paire de ciseaux.
Vous l’aurez compris, cet après-midi fut sujet à de nombreuses transformations :
Et il faudra trouver un autre samedi pour faire les ourelets !
Nouvelle expérience : OIA à l’école primaire.
Les élèves commencent par lire le premier chapitre de Marc. Ensuite, quelques consignes au tableau : donner un titre qui résume chaque partie, choisir une des parties et noter les mots difficiles, les questions et ce qu’on apprend sur Jésus.
La lecture est individuelle, puis le travail se fait par deux ou trois. Je passe dans les rangs pour donner un coup de pouce…
– Alors, quel titre as-tu trouvé pour la première partie ?
– « La naissance de Jésus ».
– Ah bon ? Tu es sûr que le texte parle de la naissance de Jésus ?
– Oui, ici, c’est écrit « Jésus-Christ ».
– Et qu’est-ce qu’il fait Jésus ?
– Ben, « Christ », ça veut dire « est né », donc c’est la naissance de Jésus.
– Ah, il va falloir noter « Christ » dans la liste des mots difficiles…
Expérience tout de même positive, car les autres propositions pour les versets 1 à 20 étaient « baptême de Jésus », « Jésus est baptisé » et « de nouveaux amis ». La suite à la prochaine séance…
Une recette qui prend du temps, mais qui vaut le coup. Attention cependant à choisir une bonne viande. Celle que j’ai prise (viande hachée porc-veau du supermarché) n’était pas terrible et très grasse.
Une phase critique : l’étalage de la pâte. Si la pâte n’est pas assez fine, il y aura trop peu de ravioles par rapport à la farce préparée, ce qui engendre un reste de farce. Celui-ci se consommera bien par ailleurs, avec des légumes ou dans gratin. La seconde conséquence est plus gènante : le rapport raviole/farce est trop élevé pour chaque raviole. Ainsi, on a l’impression de manger beaucoup de pâte et peu de viande-oignons.
Comment en suis-je arrivée là ?
Je sais, je n’aurais pas dû, c’était une grossière erreur, une décision trop hâtive entrainant des conséquences désastreuses et irréversibles. J’aurais pu prendre mon temps, réfléchir posément, mais avec l’effervescence, l’impatience, la gourmandise… on ne se rend jamais compte sur le coup de ce qui arrive vraiment. Pourtant, on m’avait prévenue… je savais qu’il ne faut pas aller trop vite.
Car oui, les oignons à peine retirés de la poëlle ont réchauffé toute la farce, et une fois étalée sur ma belle pâte, cette dernière s’est mise à fondre ! De dure qu’elle devait être, elle est devenue collante est était impossible à rouler.
A la fac, on nous apprenait qu’il ne faudrait pas seulement publier les recherches qui valident les hypothèses, mais aussi celles qui les invalident, voire même celles qui ne montrent rien du tout, juste pour que les lecteurs puissent apprendre des erreurs des autres.
Appliqué à moi-même, voici mon premier gros échec en cuisine depuis le début de ce blog, à l’occasion de la tentative de Fleischschnecke. Alors il parraît que c’était très bon quand même, mais il ne fallait juste pas savoir que « schnecke » signifie escargot (la viande ayant été quant à elle toujours reconnaissable).
Hé oui, car voici le résultat prévu par Simone… et sur les images suivantes celui obtenu par moi, recto/verso, après un plan de sauvetage savament organisé.
Plus forts que les Bredle, il y a les Double-Bredle, comme dans cette recette de Spitzbuede (garçon pointu ?) à la confiture de fraise-rubarbe. Le plus dur étant de trouver les bonnes tailles d’emporte-pièce (ici un verre et un gobelet de sirop pour la toux) et de bien compter les palets plein et les palets creux pour en avoir autant ! Attention, lorsque les palets sont trop grands (comme sur la photo), la superposition est délicate car le palet du dessus à tendance à se briser…
Abat-jour du couloir : Réalisé en papier, avec dessin au feutre enrobé d’huile de parafine. Pour fixer le papier, nous avons réalisé des petits trous à l’aide de la machine à coudre, puis cousu les feuilles aux quatre bords sur l’armature métallique.
Abat-jour du séjour (nouveau!) : Réalisé à partir de bandes de tissu fin (voilage) plié en deux, et cousu sur les bords. Les bandes de tissu sont fixées à l’armature par quelques points du couture, seulement sur le bord du haut. Elles pendent librement. Nous hésitons à ajouter quelques bandes pendantes blanches (des chutes de rideaux) ou à en enrouler en tourbillon autour du cylindre.
Voilà aujourd’hui l’aboutissement d’un long bricolage, fruit d’une étroite collaboration entre nous deux durant 7 étapes, dont les premières en short au milieu des cartons et les dernières en pull et sous-pull.
Avant tout, l’achat des matériaux chez Monsieur Br. : un porte-manteau tout prêt en bois et quelques planches de bois d’après certaines mesures. Avec ceci, des vis et du fil de fer épais, sans oublier la peinture !
Etape 1 : peindre le porte-manteau et tracer un contour sur la planche
Etape 2 : découpage à la scie d’après un tracé de crayon, puis limage des bords
Etape 3 : peinture de la planche découpée
Etape 4 : assemblage des pièces, à la colle à bois puis à la vis
Etape 5 : peinturlure des nouvelles pièces, suivie de trois couches de vernis
Etape 6 : fixage des petits crochets
Etape 7 : fixage au mur (on vous passe les perçages) et misage de plein de fourbi !
Et voilà ! J’espère perdre mes clés moins souvent dorénavent !