Dernier dîner de 2011

Pour fêter la fin des vacances, la fin de l'année, et tout ça, j'ai passé une grosse après-midi dans la cuisine. Voilà ce que ça a donné :

verrines de carottes au cumin revêtues de pain d'épice (recyclage de la crêche de Noël)
sauce aux côtes de blettes et à l'ail, avec beaucoup trop d'ail, pour tremper les carottes crues, avec beaucoup trop de carottes
– poisson sauce kourou (excellente et simplissime recette de Sam consistant à ajouter à la crême fraiche un jus de fruit de la passion, mais un vrai de vrai) accompagné d'une purrée patate-blettes
– compote de pommes de Schill avec un délice pistache-chocolat (le meilleur biscuit que j'ai jamais mangé ; ça valait le coup de le tester !)

Et pour le ptit dèj du 1er de l'an, pas de Bretzel de nouvel an, mais un yahourt cannelle à la compote de pommes et aux flocons d'avoine. Il en reste encore 7 au frigo o/

Yahourtière testée

Voici ma première utilisation de la yahourtière de Noël. J'ai fait des yahourts à la vanille, pour une fois non pas avec une petite cuilère d'arôme liquide, mais en laissant infuser une gousse ouverte dans du lait chaud pendant une nuit. Le lendemain matin, je mélange le litre de lait passé avec un yahourt fouetté. Je remplis la moitié des pots de yahourts (6) que je place dans la yahourtière. Et c'est parti pour 9h au tiède. Vous pouvez voir les goutelletes de condensation juste avant l'ouverture. Résultat : les yahourts ont l'air d'avoir bien pris, et j'en goûterai un demain, après un petit passage au frais. En tout cas, la confection est bien plus simple qu'au four ! Merci les frangins !

Cadeaux à manger en cas d’urgence

Pour ce Noël, il y a eu quelques cadeaux faits maison. Le célèbre « kit à cookie » a été rejoint par d’autres recettes dénichées sur différents blogs.

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Recette de la soupe aux deux lentilles : http://www.supertouillette.com/recette/sos-soupe-aux-deux-lentilles-et-curry-en-bocal

Recette du rhum à ranger au placard : http://beaualalouche.canalblog.com/archives/2011/01/15/19936703.html

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Recette du risotto aux champignons : http://www.supertouillette.com/recette/sos-risotto-aux-c-pes-et-aux-girolles-en-bocal

Recette des cookies : http://www.papillesetpupilles.fr/2009/10/cookies-pour-cadeau-gourmand-ou-sos.html/

Recette du riz au lait : http://www.madmoizelle.com/recette-kit-de-riz-au-lait-76588

Personnages en pâte d’amande

Après avoir réalisé la crêche en pain d’épice, il manquait encore les personnages. Un peu de pâte d’amande et de colorant alimentaire, deux mains, et hop ! Voici le résultat de cet après-midi.

Ici, les personnages en détail : un ange qui chante, une Marie, un Joseph, un Jésus dans une mangeoire, un berger suivi de son mouton, et un âne qui passe la tête par la fenêtre en se régalant de foin. Il me restait assez de rose pour pouvoir faire un cochon, mais Seb aurait dit en rentrant que ce n’est pas très casher. Alors j’ai préféré faire des cheveux blonds à Marie.

Rien à voir, mais avec le rab de pâte, j’avais fait quelques gateaux à l’emporte-pièce. J’ai voulu tester le colorant alimentaire sur le glaçage. A vous de juger… en tout cas, pour moi, le violet ne donne pas envie de goûter les gateaux 😉

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Reste plus qu’à savoir qui va manger tout ça !

 

Crêche en pain d’épice

Grand projet du jour : fabriquer une crêche de Noël en pain d’épice. Et ce n’est pas peu dire, car j’ai réellement passé ma journée à construire cette maison, au point de zapper la sieste ! Je vous propose, avant un gros dodo, un petit tour d’horizon des étapes du jour.

Tout d’abord, la confection de la pâte. La recette vient de marmiton, avec de bons commentaires et une blogueuse expérimentée en maisons en pain d’épice, pour en avoir fait tous les ans, satisfaite. On mélange les produits « secs » (farine et épices) puis ceux « soi-disant pas secs » (miel, sucre roux et beurre) et on termine avec les oeufs et des zestes d’orange et de citron. Plus on avance dans cette partie, plus ça sent bon dans la cuisine. La difficulté de cette étape se trouve dans le mélange d’une pâte très dure. Un robot vous sera sans doute d’une bonne aide.

Pendant que la pâte repose au frais, on prépare les gabarits. La difficulté de cette étape réside moins dans mes lacunes de géométrie (le théorème de pythagore, c’est celui que je connais le mieux, si ce n’est le seul) que dans l’estimation de la quantité nécessaire de pâte pour la taille des pièces à choisir. L’expérience à montré que le double de pâte (ce qu’indique marmiton) est doublement suffisant pour une maison de 15 cm de côté, 15 de haut, dont 10 jusqu’au bas du toit.

On récupère la pâte, à pétrire un peu entre les mains avec une poignée de farine, puis étaler sur un demi centimètre d’épaisseur. Pensez à fariner aussi le dessus de la pâte pour faciliter le retrait du gabarit. La découpe comme l’étalage se font très bien. En plus des 2 façaces, 2 côtés, 2 toits, j’ai suivi les conseils de Seb en faisant quelques « poutres » qui permettent de consolider la construction dans les angles et arrêtes. Elles s’avéreront particulièrement utiles pour étayer les toits qui auront tendance à se courber. On peut profiter de l’étape de découpe pour aménager les côtés : porte, fenêtres. Les volets peuvent être collés directement avec un peu de blanc d’oeuf, mais le résultat a montré qu’il aurait mieux valu les coller après cuisson. En effet, en cours de cuisson, la pâte ramolit, semble même fondre et se déforme légèrement. D’ailleurs, évitez de placer la pâte trop haut dans le four, car elle y craquelle.

Après cuisson, on laisse refroidir et durcir sur le balcon et on détache les pièces. Une fois durcies, le montage peut commencer ! La colle de la recette est en très grande quantité. J’ai commencé par en faire un tiers pour éviter que tout durcisse dans mon plat, et je n’ai pas eu besoin d’en refaire : 1 blanc d’oeuf à battre en neige avec 150g de sucre glace. Du ciment ! La douille a été très utile pour l’assemblage, tout comme le mari pour tenir deux murs ensemble et placer quelques épingles dans les angles.

Enfin, il ne reste plus qu’à décorer ! J’ai choisi d’éviter les bonbons, et les amandes, noisettes, raisins secs, paillettes de chocolat en ont bien profité. Du coup, c’est une maison pas très colorée, juste comme je la voulais pour en faire une crêche. Demain, je me charge des bonshommes en pâte d’amande. Allez hop, au dodo !

Recette de la Toussaint

Je commence à reprendre goût à la cuisine. Alors pour fêter cela, j’ai décidé de trouver une petite recette pour la Toussaint. Oui, vous savez bien, à chaque période de l’année sa pâtisserie ! Mais à la période de la Toussaint, je n’ai jamais vu de recette attitrée… Ni une ni deux, je charge le site de marmiton, et je tappe « toussaint » dans la barre de recherche : 2 recettes seulement. Bon, pas étonnant que je ne connaissait rien !

J’ai donc l’honneur de vous présenter les Niflettes : doubles palets de pâte feuilletée chapeautés de crême pâtissière à la fleur d’oranger. Il s’agirait d’une recette typique de la ville de Provins, en Seine et Marne. Leur nom serait issu d’un petite phrase en latin qu’on disait aux enfants tristes le jour de la Toussaint, signifiant « ne pleure pas ». La recette se trouve ici, et sans oublier d’y ajouter de la fleur d’oranger. Facile à réaliser, et plutôt bon, j’ai fait la moitié de la quantité. Normalement, les palets devraient mesurer environ 8 cm de diamètre ; les miens sont donc des mini-niflettes, et je les sers ce soir pour l’étude biblique des Amis du GBU qui commence dans une minute (zavez qu’à venir très vite 😉

L’affreux luminaire remplacé

Cela fait déjà 3 mois que nous n’avons plus posté ici ! Période où nous nous sommes davantage afferrés aux nausées. Mais à présent, retour sur un peu d’activité, et bientôt même de la pâtisserie !

Voici l’affreux luminaire que Seb a remplacé le week-end dernier. Le démontage n’était pas aisé. Heureusement, le mode d’emploi a été remis par le propriétaire qui a eu le bon goût de l’installer aux propriétaires qui ont eu le bon goût de le laisser en place et de nous le vendre à leur tour dans le pack « appartement ».

Le séjour étant assez grand, nous avons opté pour une lampe qui prend de la largeur, avec abat-jour en papier. Le plafond n’étant pas très haut, la forme « champignon écrabouillé » nous convenait parfaitement. Et coup de bol : les trous existant au plafond correspondaient à ceux dont nous avions besoin ! Bref, le montage du kit « ikea » a été un brin plus simple que le démontage du kit « musée des horreurs ».

Et on est hyper satisfaits du résultat : bon éclairage, et plus d’erreur de goût trop importante. Bon, depuis, on a repéré quelques petites bestioles qui restent coincées à l’intérieur… affaire à suivre.

Si vous êtes intéressés par les ampoules funcky et le ventilo qui va avec, faites-signe, on vous donnera le mode d’emploi avec !