Voici nos lombrics

Img_0021

Vous croyiez que nous vivions à deux ? Détrompez-vous, nous sommes plus d’un millier dans notre F3 ! Bon, la majorité des habitants ne quittent pas leur boîte de 70cm*50cm, ce qui nous laisse encore beaucoup de place.

Le lombric, c’est l’animal de compagnie idéal :
– affectueux, il vient vous chatouiller le creux de la main lorsque vous l’attrappez
– actif, il se déplace constamment, fait grouillir la terre, sans être envahissant
– autonome, il gère seul sa gamelle : nous pouvons partir 3 semaines sans nous préoccuper
– utile, il grignotte nos épluchures, papiers, et diminue ainsi le volume de notre poubelle
– heureux, il se reproduit rapidement et agrandit la famille, vous donnant toujours plus de joie
– consciencieux, il produit régulièrement un engrais liquide et du compost, vous permettant de vous occuper au mieux de vos plantes.
– sociable, il n’a pas peur de dormir dans la cuisine même quand elle sert de chambre d’amis !

Ils n’attendent que de vous rencontrer, et vous inviter à boire un ver…

— Émilie

Etiquettes à confiture

Img_0059

Ca y’est, la confiture est en pot et refroidit doucement. Que faire pendant ce temps ? Préparer des étiquettes ! En plus, il en faut beaucoup ; pas un instant à perdre ! Attention, avant de vous lancer dans l’étiquettage, prennez le temps de choisir la méthode qui vous convient le mieux.

L’école Schaeffer :
– récupérer durant l’année les chutes de papier collant, du type étiquettes postales
– les couper en petits carrés, maximum 1cm de côté : vous en obtenez beaucoup !
– inscrire la première lettre du fruit composant la confiture et les deux derniers chiffres de l’année en cours (normalement, ça rentre). Par exemple : Q10 pour une confiture de Quetsches réalisée en 2010. Attention, si vous faites de la confiture de Pommes ou Poires, pensez à remplacer le P des pommes par le A des Apfel, qui vous évitera de confondre les deux fruits tout en respectant la convention du Schnaps.
– enfin, coller les petites étiquettes sur les pots.Points forts de l’école Schaeffer :
– économie de papier et d’encre
– étiquette discrette
– transmission du code familialL’école Kœchlin :
– allumer l’ordinateur
– chercher sur internet le nombre d’or
– à l’aide d’Open Office Drawer, réaliser des rectangles respectant les meilleures proportions
– inscrire au centre le nom du fruit, sa provenance, le mois et l’année de confection. Par exemple : Confiture de Mirabelles d’Heiligenstein Août 2010.
– modifier la forme du cadre, la police de carractère, et l’illustration (optionnelle) selon la fantaisie du moment
– copier-coller sur toute la page
– imprimer, découper soigneusement
– tremper dans une coupelle de lait, puis appliquer contre les pots : ça colle !Points forts de l’école Kœchlin :
– belles étiquettes, faciles à repérer sur le pot
– transmission d’information primordiales
– le collage au lait permet un décollage rapide et propre à l’eau pour récupérer le pot l’année suivante

Ecole Koocotte :
Inspirée majoritairement de l’école Kœchlin, elle permet de sauter les premières étapes fastidieuses en enregistrant le fichier source entre deux confitures. Tennez, justement, voici un fichier source en cadeau pour vous !

Points forts de l’école Koocotte :
– plus besoin de chercher le nombre d’or

Img_0055
Img_0050
Img_0052
Img_0051
Img_0056
Img_0053
Img_0057
Img_0058

Bonus photo : panorama des étiquettes qu’on arrive même à lire !

Une sortie « pommes » à Schill.

Souvenir de notre seconde sortie « pommes » de la saison 2010, avec Paul et Dany. Plus humide qu’à la première, il fallait tout de même rapporter quelques photos en souvenir !
Cueillir dans l’arbre, rammasser sous l’arbre, remplir les sacs et les cageots, fermer les sacs, charger la charette, et conduire le tracteur à l’arbre suivant. De belles tartes et compotes à l’horizion, et surtout des centaines de litres de jus pour toute l’année.