Recette de la Toussaint
Je commence à reprendre goût à la cuisine. Alors pour fêter cela, j’ai décidé de trouver une petite recette pour la Toussaint. Oui, vous savez bien, à chaque période de l’année sa pâtisserie ! Mais à la période de la Toussaint, je n’ai jamais vu de recette attitrée… Ni une ni deux, je charge le site de marmiton, et je tappe « toussaint » dans la barre de recherche : 2 recettes seulement. Bon, pas étonnant que je ne connaissait rien !
J’ai donc l’honneur de vous présenter les Niflettes : doubles palets de pâte feuilletée chapeautés de crême pâtissière à la fleur d’oranger. Il s’agirait d’une recette typique de la ville de Provins, en Seine et Marne. Leur nom serait issu d’un petite phrase en latin qu’on disait aux enfants tristes le jour de la Toussaint, signifiant « ne pleure pas ». La recette se trouve ici, et sans oublier d’y ajouter de la fleur d’oranger. Facile à réaliser, et plutôt bon, j’ai fait la moitié de la quantité. Normalement, les palets devraient mesurer environ 8 cm de diamètre ; les miens sont donc des mini-niflettes, et je les sers ce soir pour l’étude biblique des Amis du GBU qui commence dans une minute (zavez qu’à venir très vite 😉
L’affreux luminaire remplacé
Cela fait déjà 3 mois que nous n’avons plus posté ici ! Période où nous nous sommes davantage afferrés aux nausées. Mais à présent, retour sur un peu d’activité, et bientôt même de la pâtisserie !
Voici l’affreux luminaire que Seb a remplacé le week-end dernier. Le démontage n’était pas aisé. Heureusement, le mode d’emploi a été remis par le propriétaire qui a eu le bon goût de l’installer aux propriétaires qui ont eu le bon goût de le laisser en place et de nous le vendre à leur tour dans le pack « appartement ».
Le séjour étant assez grand, nous avons opté pour une lampe qui prend de la largeur, avec abat-jour en papier. Le plafond n’étant pas très haut, la forme « champignon écrabouillé » nous convenait parfaitement. Et coup de bol : les trous existant au plafond correspondaient à ceux dont nous avions besoin ! Bref, le montage du kit « ikea » a été un brin plus simple que le démontage du kit « musée des horreurs ».
Et on est hyper satisfaits du résultat : bon éclairage, et plus d’erreur de goût trop importante. Bon, depuis, on a repéré quelques petites bestioles qui restent coincées à l’intérieur… affaire à suivre.
Si vous êtes intéressés par les ampoules funcky et le ventilo qui va avec, faites-signe, on vous donnera le mode d’emploi avec !
Un dimanche pluvieux
L'occasion de refaire un coup de fimo. Cette fois, c'est le loup et l'agneau. Et ce que je n'arrive pas à rendre sur la photo : les yeux de l'agneau et les dents du loup sont phosphorecentes. Bouh…
Au fait, si vous avez des idées de paires, écrivez-les-moi ! Pour l'instant, je pense à un oeuf au plat et un bout de spack, alors si vous ne voulez pas voir ça, proposez-moi mieux 😉L’alsacien en une seule leçon
Avec cette vidéo, vous vous en tirez plutôt bien en France de l’intérieur, même si vous passez pour quelqu’un d’assez vulgaire. Mais si vous venniez en Alsace, pensez-vous pouvoir vous faire comprendre ? La réponse est « oui », grâce à cette unique leçon.
Quand Seb trouve un reste de pâte et un reste d’abricots
Il nous fait des chaussons aux abricots. Préparation simple et rapide, disparition très rapide.
Les bijoux d’une psychologue gourmande
Dans une relations à trois, il y a trois places : celle de la victime, celle du persécuteur, et celle du sauveur.
Fromton, souris, chat… qui prend quelle place ?
un peu de couleur sur les étiquettes !
Vous vous souvenez sans doute de l'article comparatif des différentes écoles d'étiquettes dans nos familles, avec en bonus des étiquettes à télécharger, puis à éditer à votre sauce.
Pour cette fournée cerises griottes et groseilles-bananes, j'ai décidé d'ajouter un peu de couleur à nos étiquettes. Notre imprimante est noir et blanc, mais nous avons quelques crayons de couleur qui trainent. Et à ma grande satisfaction, les couleurs ne bavent pas lorsqu'on trempe le papier dans le lait pour le collage. Voilà le résultat !
un gros pain
Seb aime quand je lui rapporte un gros pain. Il trouve peut-être que ça fait familial. Et plus il est gros, plus il aime ça. Alors l'autre jour, à la boulangerie, j'ai pris le plus gros pain de l'étalage. Et j'ai refusé qu'on me le découpe. Il pesait 1,9 kg.
Il faut s'habituer à un truc : au lieu de manger 3 à 4 tartines au ptit dèj, on n'en mange qu'une chacun. Du coup, on se la tartine de plusieurs confitures différentes, en arc-en-ciel. Etonnament, ce bon pain ne sèche pas vite, et tient quasiment une semaine. En comparant les prix au kilo et notre consommation, finalement, ce bon gros pain vaut bien le coup !