Une douille qui douille

L'achat de la journée : une douille pour décorer les gateaux d'écriture ou dessins. Prix : 18 euros. Je l'ai testée pour vous.

– D'abord, il faut une recette. Rapide de préférence, et utilisant le fruit qui commence à s'accumuler chez nous : l'orange. Ces mini-muffins marmiton feront parfaitement l'affaire (15 minutes de préparation, 12 de cuisson, 1 de dégustation).
– Pendant que les gateaux cuisent, je prépare la sauce : une casserole, un peu de lait, plein de chocolat. J'en remplis la douille. Très pratique, l'ouverture est grande. Ca s'annonce plutôt bien pour la vaisselle.
– Enfin, après démoulage des gateaux, je teste les 4 embouts : un fin permet d'écrire et dessiner facilement. Celui un peu plus épais conviendra mieux sur un GROS gateau. Celui plein de cheveux est pratique pour colorier. Celui à la spatule n'a aucun intérêt pour ces petites surfaces. A tester sur plus gros, un jour. En tout cas, l'utilisation est très facile, autant pour le remplissage, le changement d'embout, que l'expulsion.
– Et puis la conservation : j'ai fait beaucoup trop de sauce, mais la douille résiste au frais. Il faudra donc tester le GROS gateau dans la semaine !

Bilan : Ca annonce toujours plus de gateaux o/

Vacances en Crête #3

Intéressons-nous cette fois à la religion avec le christianisme orthodoxe, dont 98 pourcent de la population se réclame. Depuis quelques années, la religion ne figure plus sur la carte d'identité grecque, mais elle fait partie intégrante de ce peuple.

Notre séjour en Crête tombait sur la période de la Semaine Sainte et de Pâques orthodoxe. Cette année, les dates du calendrier julien (le leur) correspondaient à celles du calendrier grégorien (le nôtre), mais cela n'arrive que tous les deux ans, sauf aussi l'an dernier… je vous laisse chercher l'explication. Une autre particularité est le décalage d'une fête à la veille : le jour commence la veille au soir, comme pour les Hébreux. Du coup, on fête Christ ressucité samedi… matin et soir, et on se rappelle de sa crucifixion… le vendredi. Là aussi, je vous laisse comprendre. Mais bon, on n'est pas à la minute !

La fête de Pâques est la plus importante pour les chrétiens. Les orthodoxes ont donc plusieurs cérémonies (messes et processions) cette semaine là : beaucoup de messes, avec des églises trop pleines et une retransmission du message du pope par haut-parleur à l'extérieur du batiment. Trop pleines, alors qu'il y a peu de places assises, et beaucoup de monde debout, qui défile pour embrasser les icônes, allumer des cierges, saluer le "tombeau" plein de fleurs à bonne odeur. Une cérémonie d'enterrement est célébrée, car c'est bien le décès de Jésus qui est rappellé. Un élément très surprenant pour nous : les gens ne chantent pas, seule une ou deux personne formée chante des psaumes sur des mélodies grégoriennes.

L'intérieur des églises est très coloré : fresques sur murs et plafond reprenant des scènes bibliques avec beaucoup de sens symbolique (notamment Jésus qui marche sur la mort, ma préférée), et aussi des scènes d'histoire de l'Eglise, icônostase, ex-voto d'argent ou d'or, le vêtement du pope. Et puis une odeur d'encens envahit tout l'espace. L'architecture typique, c'est un bâtiment plus ou moins carré : parfois une première antichambre, puis une neffe, et un sanctuaire séparé de la neffe par l'iconostase. Le sanctuaire n'est pas accessible à tout le monde. Les cathédrales sont très visibles (Heraklion sur les photos), mais certaines chapelles se découvrent par hasard au détour d'une rue… Il n'est pas rare d'y voir deux drapeaux :
– grec : bleu et blanc, symbolisant la mer, avec une croix chrétienne et 7 lignes qui sont le nombre de syllabes pour dire "mieux vaut la liberté que la vie"
jaune : avec un aigle à deux têtes courronné, symbolisant l'Eglise orthodoxe.

Que dire de plus ? Les Orthodoxes font le signe de croix dans le sens inverse des Catholiques : d'abord vers l'orient, puis seulement vers l'occident, forcément. Les popes laissent pousser leur barbe toute rectangulaire, mais ils peuvent se marier et avoir plein d'enfants. Les agneaux pascaux grillaient un peu partout le dimanche de Pâques, et ça sent bon.

Réduction de watts

Certains cherchent à augmenter leur puissance; chez nous c’est plutôt la politique de la réduction.

Objectif: réduire la consommation électrique du serveur qui tourne 24h/24.

Outil: un wattmètre, un tournevis, une carte bleue.

Situation initiale: 91W de moyenne au compteur.

Chapitre 1: Changement de la carte mère.

Le vieux Céléron4 montrait ses limites: mono-cœur, puissance dissipée de 60watts au maximum, mémoire limitée et chère, pas de mode basse consommation, adressage 32 bits…

Un petit coup de carte bleue magique et voila qu’un beau Atom D525 avec 4Go de RAM vient remplacer le vieux matériel. Bicœurs, 13watts au maximum, 64 bits. Les perfomances grimpent en flêche et la consommation totale du serveur tombe à 65W de moyenne. Le système reste en 32 bits mais le kernel 64 bits permet d’exploiter toute la mémoire.

Chapitre 2: Remplacement des disques durs

Le serveur était équipé de 3 disques 3″1/2 pour un total de 2.2To brut (1To utile avec le RAID). Les disques ayant plus de 3 ans de fonctionnement non-stop, il était temps de leur donner une retraite bien méritée. La carte CompactFlash de 32Mo qui sert à booter n’est pas concernée.

Le facteur nous a gentillement livré 2 disques 2″1/2 de 1To (un Western Digital et un Samsung) qui sont venus s’ajouter dans le serveur le temps de migrer les partitions.

Premier problème: fixer les disques. 2″1/2 c’est tout petit, et l’espacement des trous de fixation a judicieusement été choisi différent de celui des disques 3″1/2.

Des racks sont vendus dans le commerce, de plus en plus avec la démocratisation des SDD qui sont quasiment tous dans ce format, mais à un prix exhorbitant: 10€ le morceau de tolle plié avec 8 trous (et un gros logo). Un petit tour chez monsieur Bistrouillage permet de se procurer une belle feuille d’aluminium de 0.5mm pour une fraction de cette somme. L’avantage du 0.5, c’est qu’une bonne paire de ciseaux permet de faire toutes les découpes (mais la scie à métaux fonctionne aussi).

Montage, démontage, copie… Une fois les disques installés, il faut encore déclarer et formatter les disques, et déplacer toutes les données.

Comparaison

Enfin une fois migré, je retire les 3 vieux disques et le wattmètre annonce: 41W. o/

 

Crumble en pot

Parfois, je fais des desserts en portion individuelle. Plusieurs avantages selon les cas :
– quand on a des invités, ça présente bien (j’utilise des mini-cocottes)
– quand on n’est pas nombreux, on évite de garder un grand plat : à chaque repas, on prend une cocotte et les autres restent bien fermées. Autrement, on a un grand plat stocké au frigo ou ailleurs d’où se servir, avec un papier transparent à ouvrir à chaque fois : c’est encombrant et moins hygiénique.

Donc les cocottes, c’est bien. Mais il y a un inconvénient : ça ne se transporte pas, car le couvercle est juste posé. Alors pour emporter au boulot, c’est pas franchement l’idéal. D’où l’idée de faire des desserts dans des pots en verre ! On peut y faire directement la cuisson au four (c’était le test du jour), et on peut les refermer. Pour ça, choisir soit des petits pots de confiture (vraiment petits) soir des pots de yahourt vendus avec couvercle en plastique (par exemple, la marque Climont). Attention, la plupart des desserts frais vendus en pot en verre ont un simple opercule… réservez-les juste pour les photophores.

La recette du jour, inspirée de Marmiton : crumble pommes-bananes, avec un supplément schnaps ou confiture de fraise trop liquide. La pâte contient aussi un bonus : de la poudre de noisette.

Astuce : Sachant que les fruits perdent en volume à la cuisson, j’ai bien tassé les pots. Ce n’est pas une bonne idée, car à l’ébulition, le jus monte et tout déborde dans le four (merci le lèche-frite!). Par contre, une fois refroidis, c’est vrai que tout s’affaisse dans le pot. J’ai donc pu fermer sans problème.

Vacances en Crête #2

Abordons à présent l’indispensable sujet de la gastronomie. En Crête, pour résumer, on mange des produits à base d’olive, de chèvre, et de crudités. C’est ce fammeux régime crétois qui causerait une longévité hors du commun aux habitants de l’île. Mais nous allons développer tout de même un peu chacun de ces domaines…

Olive

Vous l’avez vu dans le #1, les oliviers ont la belle vie sur cette île. Ils poussent nombreux, et donnent des fruits appellés « olive ». On en apprend des choses, sur ce blog ! Sachez aussi que l’olivier a une place importante dans la mythologie. Mais ce n’est pas le sujet du jour. Les familles crétoises possèdent des oliviers qu’elles se transmettent au fil des générations. Il y aurait près de 60 arbre par habitant. On mange les olives préparées, ou bien pressées. Les Crétois consomment en moyenne 40 litres d’huile d’olive par an par personne. C’est totalement inimaginable, sauf si on considère la cuillère à soupe du matin pour être en forme, l’assaisonnement des crudités, la cuisson des légumes, la graisse des patisseries, les tartines… bref, la principale matière grasse utilisée. Non contante d’en consommer un max, la Crête est aussi un grand exportateur d’huile d’olive, notamment vers l’Espagne et l’Italie où les productions sont mélangées afin d’améliorer le goût des huiles occidentales ! Nous, on aime surtout les olives à l’apéro, et en numéro 1 celles à l’amande. Voyez plutôt Seb sur le marché de Hanes.

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Chèvre

Encore un point commun avec la Corse que ces troupeaux qui se promènent près des routes. Les chèvres ont la bonne idée de produire du lait du même nom (bien pratique, puisqu’il n’y a pas de vaches sur l’île, ou très peu). On en fait du fromage, et en particulier la fêta ! Oui, celle qu’on trouve dans nos supermarchés. Elle est concervée dans de l’eau salée, ce qui lui donne un goût assez fort, surtout sur les bords. Dans la série des produits laitiers, il y a aussi le yahourt et le tsatsiki, dans lequel on trempe du pain. Il en reste peut-être un peu parmi ces plats de mezze.

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Parlons-en des mezze ! Les Grecs servent aux touristes des plats en assiette, mais en réalité cela ne correspond pas du tout à leur habitude de manger. Ils servent plutôt des plats centraux parmi lesquels chacun pioche à sa guise. Cela donne des menus plutôt variés.

Desserts et fruits

On a pu voir beaucoup d’orangers et citronniers. Près de la côte, ils étaient remplis de fruits, tandis qu’en altitude, on profitait de la bonne odeur de fleur d’oranger. Ils n’y a pas vraiment de desserts cuisinés en Crête. On a tout de même goûté un gateau de semoule et cannelle, et des pâtisseries plutôt orientales. Le miel est très présent, notamment à la fleur de thym. Mais après les mezze, on mange simplement un fruit. C’est souvent acide, et c’est très bon comme ça.

Vacances en Crête

On ne parlera pas du café, car vous vous doutez bien qu’on n’en a pas goûté.

Vacances en Crête #1

Vous n’avez pas reçu de carte postale ? Ne soyez pas tristes, vous en apprendrez bien plus grâce aux prochains posts.

Pour commencer, parlons des sites archéologiques, et de la période minoenne. C’est une civilisation du 2ème millénaire avant Jésus-Christ, qui porte le nom du roi légendaire Minos, bien connu dans la mythologie grecque. En Crête, on a retrouvé les ruines de trois palais minoens. On ne sait pas s’ils étaient concurrents, ou si deux étaient soumis au premier. En tout cas, il s’agissait d’une période de « paix » car il n’y a pas de forteresse défensive.

Le plus grand, à Cnossos, est un vrai dédale (on y reviendra). Il a été fouillé par l’Anglais Arthur Evans dans la première moitié du XXème siècle. Ce dernier a eu la bonne idée de reconstituer le palais en partie, et a choisi pour cela le tout nouveau matériau éternel : le béton. Le site est donc actuellement un mélange de pierre de -2000, reconstitué de béton de +2000… qui s’abîme sérieusement et doit actuellement être restauré ! Du coup, beaucoup de salles sont fermées au public, mais le lieu reste beau !
Pour le dédale… Vous connaissez sans doute le mythe du Minotaure qui prendrait sa source sur ce lieu. L’étymologie du mot « labyrinthe » étant liée aux doubles haches qu’on retrouve gravées dans le palais de Minos. Les  7 jeunes gens que mangeait le monstre chaque année proviendraient d’un impôt trop important qu’imposait le roi Minos…
En images : vue d’ensemble du site, alliance du béton et du gypse, fresques reconstituées (carte postale de Nat et salle de bain de la reine), paysage autour du site ensoleillé.

Un autre palais se trouve à Faistos. C’est là qu’on a trouvé le fammeux disque écrit dans un langage qui ressemble au linéaire A, un langage qui n’a pas encore été déchiffré, contrairement au linéaire B. Seb ajoute que les carractères sont tout de même inclus dans Unicode, au cas où quelqu’un voudrait écrire en linéaire A. Les palais minoens ont plusieurs points communs : une cour centrale, des allées qui auraient servi à des rituels avec des vases, un théatre, une salle de la reine et du roi, une espèce de piscine qui n’en est pas… A Faistos, il y a en plus un four métallurgique, et en moins pas de trône.
En images : ce qui reste du four metallurgique, la cour centrale, une vue d’ensemble avec paysage.

Nous avons visité un troisième site datant de la période minoenne : la cité de Gortys.
Liée à un autre épisode mythologique, avec un arbre qui ne perd pas toutes ses feuilles, c’est aussi là qu’on a trouvé un odéon et des lois de l’époque gravées en boustrophédon dans un mur. Au même endroit -saut dans le temps- se trouve la ruine d’une basillique paléochrétienne dédiée à Tite, élève de l’apôtre Paul resté sur l’île de Crête pour y organiser la première église.
En images : un olivier quincacentenaire, le texte de lois, l’odéon, la basillique

Toujours de la période minoenne, voici la nécropole d’Arméni. Des centaines de tombeaux ont été creusés dans la roche meuble pour y déposer les corps placés en position foetale dans des sarcophages. Le site est très agréable à visiter, car il est en pleine nature, ombragé par des petits chênes.
En images : l’entrée d’un tombeau, vu d’ensemble.

 

Réguler le pH

Les coquilles d'oeuf, c'est bien connu, sont très apréciées dans les compost, car elles tiennent un rôle de régulateur de  l'acidité. On trouve ici http://www.food-info.net/fr/qa/qa-fp65.htm le pH de différents aliments. Mais c'est aussi bien connu, elles sont costaud et peuvent prendre toute la place en se dégradant particulièrement lentement. En effet, les coquilles ne se compostent pas : c'est du calcaire, et pas de la matière organique.
La solution, indiquée dans le livre du lombricompostage, c'est de les écraser en tout petits morceaux. Ce n'est pas si simple : quand ont utilise un oeuf en cuisine, il reste toujours un peu de blanc fixé dans la coquille. Très visqueux, il maintient les morceaux ensemble lorsqu'on brise la coquille. Et on s'en met partout.
Le remède à cela, c'est de conserver les coquilles (par exemple dans des boîtes à oeufs) pour les laisser sécher. Quand le stock en vaut le coup, on les place dans un torchon, qu'on replie, et sur lequel on fait passer un rouleau à patisserie. Cela évite de se couper les mains, car les coquilles en morceau sont vraiment abrasives !
Après plusieurs passages de rouleau dans tous les sens, on obtient une jolie poudre de coquille d'oeuf broyée, prête à être répartie dans tout le compost.

De la lumière dans la cuisine

Notre cuisine est très sympa, mais l’éclairage se trouve dans notre dos lorsqu’on cuisine sur le plan de travail… On se fait donc de l’ombre, et Seb a monté un plan pour un éclairage à fixer sous les éléments hauts. Objectif : éclairage efficace et esthétique autant que possible, c’est à dire sur mesures.

Voici le plan. Le matériel : deux lattes de bois clair (vendues par longueur de 2m chez Br,Micolage), deux lots de 4 lampes à LED, qu’on peut soit coller soir visser (en promo à ce moment-là chez Akei), et une petite scie sauteuse (à moins de 9 euros chez Leprince Lenchanteur), un ciseau à bois, une perceuse, un tournevis et des vis, un crayon, une gomme, une règle, du scotch, un interrupteur fermé.

On pourrait simplement coller les loupiotes sous les éléments hauts, mais les visser sur des lattes de bois permet de masquer le cablage. Le cablage se retrouve donc au verso des lattes : on prendra soin de les percer pour faire passer le cable de chaque lampe, et de creuser des rigoles pour faire courir les cables jusqu’au bout de la latte. Après quoi, ils passent derrière les éléments hauts, et seul l’interrupteur est visible. Un petit vernissage du bois pour le protéger un temps soit peu de l’humidité des lieux, et il ne reste plus qu’à mettre en place !

Voyez la différence avec et sans lumière… On se fait beaucoup moins d’ombre. Cela valait bien le coup !

 

Beignets de mardi gras

Pas eu le temps de les préparer mardi… mais je me suis ratrappée jeudi. Pour ma première, c’était plutôt réussi, hormis les quantités (1kg de farine). Hé oui, comme d’habitude, Simone indique au moins le double du nécessaire ! Ce ne fut pas pour déplaire à mes collègues, ni à ceux de Seb, encore moins au groupe d’étude biblique du jeudi soir, ni même à tante Suzane. Bref, j’ai un an pour me demander si je fais la même quantité la prochaine fois, ou la moitié !

La réalisation dure longtemps, notamment avec les deux levées, et surtout le bain d’huile où il faut être présent tout en gardant la Knack-attitude. Mon instant préféré fut le découpage des ronds au verre. J’ai testé différentes cuisson, et les beignets un peu brunis sont les meilleurs (les blancs sont à la limite du peu cuit et les bruns foncés plus croquants).

Le voyage des pères.

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Voilà une série de trois albums de David Ratte, sortis entre 2005 et 2007, qu’on ne se lasse pas de lire, d’admirer, de prêter et d’offrir. L’histoire se passe en Israël, au temps de l’occupation romaine. Jonas, Alphée et Zébédée s’engagent tous les trois dans un long voyage à la recherche de leurs fils, devenus disciples de Jésus. Leur périple est marqué de nombreuses rencontres dont ils ne rentreront pas indemnes… le lecteur non plus d’ailleurs.

L’idée est originale, racontée avec beaucoup d’humour, des répliques poignantes, et de superbes dessins. L’histoire se veut romancée, mais proche du possible, emprunte d’humanité et d’évangile.

En illustration : les couvertures et une sélection d’extraits. Disponible en vraie librairie et sur amazon.

On me dit dans mon oreillette qu’un nouvel opus est sorti en février… « L’exode selon Yona ».